Sur la route de Camille, tout commence un peu par hasard. En 2009, elle entre dans l’histoire phoebusienne pour un stage de 6 mois, dans la peau d’une assistante chef de projet. C’est grâce à un ami de la famille qui lui parle de l’agence, que Camille postule. En pleine réflexion sur son avenir, c’était l’occasion parfaite de découvrir un univers qu’elle ne connaissait pas encore. Quoi de mieux qu’une agence de com’ pour comprendre les nombreuses facettes de ce métier ?
Rédaction, relation et passion
Camille se souvient particulièrement d’un projet qui l’a marquée : écrire pour un magazine de découverte du patrimoine. Un peu d’histoire, des anecdotes, de la rédaction, bref, tout ce qu’elle aime. Elle a aussi participé à quelques campagnes pour « Auvergnat Cola » -oui, une boisson régionale absolument exquise-. Ce mélange de pige journalistique et de communication l’a confortée dans une idée : écrire, c’est son truc ! Son plus grand coup de maître chez Phoebus ? Découvrir les coulisses des relations presse, un vrai game changer pour elle. Camille a appris à jongler avec le fameux système de relance presse, ce petit outil indispensable pour faire bouger les choses. Et puis, il y avait aussi ce rapport de stage, autour de la démarche qualité, qui lui a permis de prendre du recul sur les projets et d’organiser ses idées comme une pro !
Une étape décisive
Quand elle pense à ce stage, Camille se dit que ça a été une étape décisive dans son parcours professionnel. Tout ce travail de rédaction, ces missions de pige, c’était exactement ce qu’elle cherchait sans le savoir. Résultat : elle suit sa vocation et devient journaliste. Elle admet d’ailleurs que ce passage de quelques mois chez Phoebus Communication a eu un impact direct sur son choix de carrière.
« Observez »
Aux futurs stagiaires qui passeront la porte de Phoebus, Camille donne un conseil précieux : « 𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒𝑧 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑙𝑒𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑜𝑏𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑧. 𝐼𝑙 𝑦 𝑎 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑢𝑏𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑠𝑒𝑛𝑡, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙’𝑎𝑔𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑔𝑒̀𝑟𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑐𝑙𝑖𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑗𝑒𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑎𝑢𝑥. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑖𝑛𝑒 𝑑’𝑜𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑒𝑢𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑟. »
Et alors ? Le mot de fin ?
« 𝑆𝑎𝑛𝑠 ℎ𝑒́𝑠𝑖𝑡𝑒𝑟 : 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒 ! »